Observations d'un dimanche sous le voile d'un brouillard froid et salaud de Paris.
Aujourd'hui parti pour l'exposition Marcel Duchamp un dimanche dans un brouillard frigorifique et tonic nous avons grimpé au sixième étage qui pourrait être la plus haute sur le bord du village du Marais et ce qu'on a vu nous a émerveillé et nourrit.
Galerie 2.
Duchamp et ses contemporains plus artistes, mais plutôt réalisateurs qui se sont consternés sur la fin d'une décennie, le début d'une époque broyé en plein moteur de la révolution industrielle plaquer d'acier et l'imaginaire de vapeur, de gaz et de guerre. Ils interprètent avec peine a une vitesse fulgurante avec la lumière perçue au travers d'une cellulose et celle plus perçante du rayon xXx. La peinture ne sèche pas assez vite pour Duchamp pour y appliquer son zietgeist, mais elle est bien là réservé a une acteur d'honneur sur le chemin
d'une évolution hypertactile comme un autographe sur papier.
Galerie 1.
C'est the mordant moderne de la contemporaine de Jeff Koons et son chien bulle de 2 tonnes et un ensemble de sculpture titanic qui semble encore gravitas sur le penchant d'érotisme et j'usqut'à la pornographie du "Verre Plein" de la consommation américaine et toute sa gloire a ce que cela lui apporte que ce qui nous importe. Un vide plein d'air et d'acier inoxydable.
Et pendant ce temps pied a terre à l'étage primaire se trouve les pigeons qui se font rond par un sexagénaire du coin qui à la main porte d’écopeaux de baguette dans un grand sac en plastique et qui les éparpillent ici et là aux sons de deux digeridous qui tiennent la cour du centre Pompidou.
Quelle belle journée de découverte a couverture de brouillard froid et salaud de Paris.*
* Veuillez noter que l'utilisation du terme salaud mène peut-être l'illusion que Paris est une ville sal, ou peut-être que l'auteur n'aime pas la ville, mais en vérité c'est le brouillard et la pollution qui pendent sur Paris qui est parfois, voir souvent, étouffante et que néamoins l'auteur (cof) l'aime beaucoup.
Mais ceci apporte du caractère à la cour alors on s'y ajustera. Comme ils disent à l'ouest de la manche. "What doesn't kill you (or slowly poisons you and gives you disease) makes you stronger."
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